PARIS FRÔLE LES 4800 POINTS, PÉTROLE EN BAISSE.
PARIS FRÔLE LES 4800 POINTS, PÉTROLE EN BAISSE.
(CercleFinance.com) - Après une valse hésitation, la Bourse de Paris a terminé la séance en légère hausse.
Après un début de séance en repli, les Bourses européennes ont pris le chemin de la hausse dans le sillage du reflux des prix du pétrole.
Le CAC s'adjuge une légère hausse de 0,1% et termine juste au dessous des 4800 points à 4799 points exactement. Ailleurs en Europe, les indices ont achevé la séance en ordre dispersé. Le Dax de Francfort a gagné 0,2% tandis que l'Ibex de Madrid a reculé de 0,7%.
Wall Street est également indécis, le Dow Jones gagne 0,9% alors que le Nasdaq abandonne 0,5%.
Après un nouveau record historique atteint ce week-end au dessus des 139 dollars le baril, les cours du baril " light sweet crude " se replie de -1,2% à 136,95 dollars ce lundi.
La poussée du cours est en grande partie liée à la glissade du dollar, devise de référence pour les échanges sur le marché pétrolier, suite aux piètres performances du marché du travail américain et aux déclarations de Jean-Claude Trichet jeudi dernier laissant présager un durcissement de politique monétaire de la BCE en juillet.
La tendance au redressement est confortée cet après-midi par la publication d'une hausse de 6,3% des promesses de ventes de logements aux Etats-Unis en avril.
Pourtant, Lehman Brothers a confirmé une levée de fonds de 6 milliards de dollars et indiqué qu'elle subirait une perte nette de près de 2,8 milliards de dollars au titre de son deuxième trimestre, contre un bénéfice net de 1,3 milliard de dollars un an plus tôt.
Sur le plan des valeurs, Capgemini accuse la plus forte baisse du CAC40 (-3,5%), après avoir été dégradé de 'Achat' à 'Conserver' par les analystes de Citigroup.
Dans le sillage de Lehman Brothers, les valeurs financières sont également à la peine avec Dexia en repli de 2,8% ou Société Générale qui reperd 2%.
Air France-KLM (-1,7%) souffre pour sa part de la nouvelle flambée des prix de l'or noir, malgré l'annonce ce matin de chiffres du trafic passagers en hausse de 6% au mois de mai.
Les valeurs du secteur automobile sont également à la peine, avec un repli de Michelin et Peugeot.
Sanofi Aventis termine également dans le rouge (- 2,5%). Le groupe pharmaceutique a annoncé qu'une étude montre que Lantus a aidé des patients diabétiques de type 2 à atteindre l'objectif de contrôle glycémique recommandé par l'ADA.
A l'inverse, les valeurs de l'énergie profitent pour leur part de la fermeté du brut. GDF (+4%) et Suez (+3,4) prennent la tête du CAC 40 alors que le processus de fusion semble toucher à sa fin s'adjuge 3,1% en outre les ministres européens seraient sur le point d'adopter des mesures qui permettrait de maintenir les groupes énergétiques en l'état et le spectre d'une restructuration imposée par Bruxelles semble s'éloigner.
EDF (+2,3%) échapperait également à priori à la séparation de leur réseau de distribution voulue par Bruxelles.
Après un début de séance en repli, les Bourses européennes ont pris le chemin de la hausse dans le sillage du reflux des prix du pétrole.
Le CAC s'adjuge une légère hausse de 0,1% et termine juste au dessous des 4800 points à 4799 points exactement. Ailleurs en Europe, les indices ont achevé la séance en ordre dispersé. Le Dax de Francfort a gagné 0,2% tandis que l'Ibex de Madrid a reculé de 0,7%.
Wall Street est également indécis, le Dow Jones gagne 0,9% alors que le Nasdaq abandonne 0,5%.
Après un nouveau record historique atteint ce week-end au dessus des 139 dollars le baril, les cours du baril " light sweet crude " se replie de -1,2% à 136,95 dollars ce lundi.
La poussée du cours est en grande partie liée à la glissade du dollar, devise de référence pour les échanges sur le marché pétrolier, suite aux piètres performances du marché du travail américain et aux déclarations de Jean-Claude Trichet jeudi dernier laissant présager un durcissement de politique monétaire de la BCE en juillet.
La tendance au redressement est confortée cet après-midi par la publication d'une hausse de 6,3% des promesses de ventes de logements aux Etats-Unis en avril.
Pourtant, Lehman Brothers a confirmé une levée de fonds de 6 milliards de dollars et indiqué qu'elle subirait une perte nette de près de 2,8 milliards de dollars au titre de son deuxième trimestre, contre un bénéfice net de 1,3 milliard de dollars un an plus tôt.
Sur le plan des valeurs, Capgemini accuse la plus forte baisse du CAC40 (-3,5%), après avoir été dégradé de 'Achat' à 'Conserver' par les analystes de Citigroup.
Dans le sillage de Lehman Brothers, les valeurs financières sont également à la peine avec Dexia en repli de 2,8% ou Société Générale qui reperd 2%.
Air France-KLM (-1,7%) souffre pour sa part de la nouvelle flambée des prix de l'or noir, malgré l'annonce ce matin de chiffres du trafic passagers en hausse de 6% au mois de mai.
Les valeurs du secteur automobile sont également à la peine, avec un repli de Michelin et Peugeot.
Sanofi Aventis termine également dans le rouge (- 2,5%). Le groupe pharmaceutique a annoncé qu'une étude montre que Lantus a aidé des patients diabétiques de type 2 à atteindre l'objectif de contrôle glycémique recommandé par l'ADA.
A l'inverse, les valeurs de l'énergie profitent pour leur part de la fermeté du brut. GDF (+4%) et Suez (+3,4) prennent la tête du CAC 40 alors que le processus de fusion semble toucher à sa fin s'adjuge 3,1% en outre les ministres européens seraient sur le point d'adopter des mesures qui permettrait de maintenir les groupes énergétiques en l'état et le spectre d'une restructuration imposée par Bruxelles semble s'éloigner.
EDF (+2,3%) échapperait également à priori à la séparation de leur réseau de distribution voulue par Bruxelles.