Le point à mi séance
vendredi 30 mars 2007 12:09
Londres, Paris, Milan, Madrid reculent de -0,3%, Francfort demeure stable avant la publication d'une série de statistiques économiques aux Etats-Unis (revenus et dépenses des ménages, indice PMI de Chicago, dépenses de construction, confiance des consommateurs).
En arrière plan se profile une montée des tensions internationales avec la poursuite du bras de fer entre l'Iran et la Grande-Bretagne. Le baril de brut s'est envolé au-dessus de 66 dollars à la clôture de New York, non loin de plus hauts de six mois" et il pourrait bientôt retracer les 67,50$ (soit un gain supplémentaire de +2% par rapport au cours actuel de 66,4 dollars).
"Les marchés boursiers vont continuer à osciller dans un tunnel jusqu'au moment où nous allons avoir des indications claires sur certains facteurs macro-économiques", prévenaient hier les stratèges de NFinance... et de ce point de vue, la publication à 14h30 des dépenses et des revenus des ménages américains sera particulièrement suivie, ainsi que les dépenses de construction.
Sur le front des valeurs, Ingenico prend 3,1% après avoir remporté un contrat majeur de 17.000 terminaux avec Svobodnaya Kassa, compagnie russe spécialisée dans la collecte de cash pour les différents types de services.
Cap Gemini reste en tête du CAC40 avec un gain de +2,8%, loin devant EDF (+1,5% mais qui pulvérise un nouveau record absolu).
NRJ Group lâche 5% après avoir annoncé un résultat opérationnel courant de 81,7 millions d'euros en 2006, contre 106,8 en 2005, et prévenu que son résultat opérationnel courant devrait continuer à baisser en 2007 et 2008 avant de se redresser de façon significative à partir de 2009 grâce au mobile.
Eiffage (-4%) subit une vague de prises de bénéfices (à 110,6E) mais le titre progresse toujours de +53% depuis le 1er janvier sans qu'aucune OPA n'ait été lancée, ni même qu'un franchissement de seuil ait été annoncé au cours du mois de mars.
(Cercle Finance) - Les indices boursiers poursuivent leur consolidation amorcée dès les 1ers échanges, mais les écarts demeurent limités (l'Euro-Stoxx50 perd -0,3%).
Wall Street avait réussi à redresser la barre en fin de séance jeudi (après que le Nasdaq ait perdu jusqu'à -0,5%) mais restait largement distance par les places européennes (qui s'étaient envolées de +1,25%).
Wall Street avait réussi à redresser la barre en fin de séance jeudi (après que le Nasdaq ait perdu jusqu'à -0,5%) mais restait largement distance par les places européennes (qui s'étaient envolées de +1,25%).
Londres, Paris, Milan, Madrid reculent de -0,3%, Francfort demeure stable avant la publication d'une série de statistiques économiques aux Etats-Unis (revenus et dépenses des ménages, indice PMI de Chicago, dépenses de construction, confiance des consommateurs).
En arrière plan se profile une montée des tensions internationales avec la poursuite du bras de fer entre l'Iran et la Grande-Bretagne. Le baril de brut s'est envolé au-dessus de 66 dollars à la clôture de New York, non loin de plus hauts de six mois" et il pourrait bientôt retracer les 67,50$ (soit un gain supplémentaire de +2% par rapport au cours actuel de 66,4 dollars).
"Les marchés boursiers vont continuer à osciller dans un tunnel jusqu'au moment où nous allons avoir des indications claires sur certains facteurs macro-économiques", prévenaient hier les stratèges de NFinance... et de ce point de vue, la publication à 14h30 des dépenses et des revenus des ménages américains sera particulièrement suivie, ainsi que les dépenses de construction.
Sur le front des valeurs, Ingenico prend 3,1% après avoir remporté un contrat majeur de 17.000 terminaux avec Svobodnaya Kassa, compagnie russe spécialisée dans la collecte de cash pour les différents types de services.
Cap Gemini reste en tête du CAC40 avec un gain de +2,8%, loin devant EDF (+1,5% mais qui pulvérise un nouveau record absolu).
NRJ Group lâche 5% après avoir annoncé un résultat opérationnel courant de 81,7 millions d'euros en 2006, contre 106,8 en 2005, et prévenu que son résultat opérationnel courant devrait continuer à baisser en 2007 et 2008 avant de se redresser de façon significative à partir de 2009 grâce au mobile.
Eiffage (-4%) subit une vague de prises de bénéfices (à 110,6E) mais le titre progresse toujours de +53% depuis le 1er janvier sans qu'aucune OPA n'ait été lancée, ni même qu'un franchissement de seuil ait été annoncé au cours du mois de mars.