La clôture à Paris
mardi 7 novembre 2006 18:21 (Cercle Finance) - La Bourse de Paris a aligné une troisième séance consécutive de hausse et enfoncé son précédent record annuel de clôture, avec un CAC 40 ne se trouvant plus qu'à 0,4% de son plus haut plus haut de cinq ans et demi (5.458,2 points).
Au
Au
terme des échanges, le CAC s'adjugeait 0,7% à 5437,8 points, enfonçant son précédent record annuel de clôture (5433,8 points), atteint le 26 octobre dernier.
Ailleurs en Europe, Londres avançait de 0,3% et Francfort de 0,5%.
Au moment de la fermeture des places européennes, le Dow Jones gagnait 0,6% et le Nasdaq 0,9%, certains investisseurs faisant le pari d'une victoire républicaine à l'issue des élections de mi-mandat.
"Les sondages montrent que les Républicains vont perdre le contrôle de la Chambre des représentants, mais les derniers résultats du week-end donnent un écart réduit entre les deux camps", note un analyste américain.
D'autres observateurs estiment qu'une victoire des démocrates entraînerait un blocage des réformes et un scénario de statu quo aujourd'hui apprécié des investisseurs.
En Europe, l'enthousiasme était quasi général à la clôture, seuls les secteurs des médias (-0,3%), des télécoms (-0,2%) et de l'automobile figurant dans le rouge.
A Paris, les valeurs technologiques (Alcatel, Capgemini, STMicroelectronics) ont largement profité de la vigueur du Nasdaq.
Longtemps lanterne rouge du CAC, Vivendi (-1,4% à 29,6 euros) évitait la dernière marche de l'indice après l'annonce d'un chiffre d'affaires stable de 4.889 millions d'euros au troisième trimestre 2006, alors que les analystes de Bear Stearns attendaient, à titre de comparaison, des ventes trimestrielles en hausse de 1,8% à 4.963 millions d'euros.
EADS (-3%) fermait la marche, le transporteur américain FedEx Express ayant annoncé en fin d'après-midi avoir annulé sa commande de 10 Airbus A380 et commandé à Boeing 15 exemplaires de son gros porteur 777 Freighter, avec une option sur 15 autres appareils.
Ailleurs en Europe, Londres avançait de 0,3% et Francfort de 0,5%.
Au moment de la fermeture des places européennes, le Dow Jones gagnait 0,6% et le Nasdaq 0,9%, certains investisseurs faisant le pari d'une victoire républicaine à l'issue des élections de mi-mandat.
"Les sondages montrent que les Républicains vont perdre le contrôle de la Chambre des représentants, mais les derniers résultats du week-end donnent un écart réduit entre les deux camps", note un analyste américain.
D'autres observateurs estiment qu'une victoire des démocrates entraînerait un blocage des réformes et un scénario de statu quo aujourd'hui apprécié des investisseurs.
En Europe, l'enthousiasme était quasi général à la clôture, seuls les secteurs des médias (-0,3%), des télécoms (-0,2%) et de l'automobile figurant dans le rouge.
A Paris, les valeurs technologiques (Alcatel, Capgemini, STMicroelectronics) ont largement profité de la vigueur du Nasdaq.
Longtemps lanterne rouge du CAC, Vivendi (-1,4% à 29,6 euros) évitait la dernière marche de l'indice après l'annonce d'un chiffre d'affaires stable de 4.889 millions d'euros au troisième trimestre 2006, alors que les analystes de Bear Stearns attendaient, à titre de comparaison, des ventes trimestrielles en hausse de 1,8% à 4.963 millions d'euros.
EADS (-3%) fermait la marche, le transporteur américain FedEx Express ayant annoncé en fin d'après-midi avoir annulé sa commande de 10 Airbus A380 et commandé à Boeing 15 exemplaires de son gros porteur 777 Freighter, avec une option sur 15 autres appareils.
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