La clôture à Paris
vendredi 27 octobre 2006 18:39 (Cercle Finance) - Hésitante en début de journée, la Bourse de Paris s'est enfoncée dans le rouge vendredi en début d'après-midi après la publication d'une croissance décevante aux Etats-Unis au 3ème trimestre, mais parvenait toutefois à afficher de modestes gains sur la semaine, ainsi qu'un bilan très flatteur sur le mois d'octobre (+2,8%).
A la clôture, le CAC 40 reculait de 0,7% à 5396 points, après avoir cédé jusqu'à 1,1% dans le courant de l'après-midi. L'indice parisien s'adjuge près de 0,4% sur l'ensemble de la semaine.
Le repli limité des marchés américains (-0,1% en moyenne au moment de la fermeture des places européennes) a permis au CAC de terminer au-dessus de ses plus bas du jour.
Le Département du commerce a annoncé à 14h30 (heure de Paris) que l'économie américaine avait progressé de seulement 1,6% au 3ème trimestre, alors que les économistes attendaient en moyenne une progression de 2%.
"Cette publication va mettre à l'épreuve le moral des investisseurs. S'ils sont optimistes, ce ralentissement sera considéré comme l'annonce de futures baisses de taux. S'ils se montrent pessimistes, ils y verront le présage de prochains résultats d'entreprises décevants", souligne Al Goldman, stratège chez AG Edwards.
En Europe, l'intégralité des secteurs ont fini dans le rouge, à l'exception des télécoms (+1,6%), des produits de base (+0,7%) et des services collectifs et de l'automobile (+0,25%).
Peugeot a signé la plus forte hausse du CAC (+2,7%) malgré l'annonce, hier soir après la clôture des marchés, d'un repli de son chiffre d'affaires au 3ème trimestre et d'une nouvelle révision à la baisse de sa prévision de marge opérationnelle.
"C'était le profit warning le plus anticipé de l'année", estimaient ce matin les analystes de Citigroup, qui affichent une recommandation "conserver" sur le titre.
Toujours sur le CAC, Carrefour - qui a annoncé des perspectives décevantes au titre du 4ème trimestre - a été sanctionné par une baisse de 3,6% et Sanofi-Aventis (-1,5%) semblait contaminé par la chute (-10% en 48H) de son concurrent britannique Astrazeneca.
A la clôture, le CAC 40 reculait de 0,7% à 5396 points, après avoir cédé jusqu'à 1,1% dans le courant de l'après-midi. L'indice parisien s'adjuge près de 0,4% sur l'ensemble de la semaine.
Le repli limité des marchés américains (-0,1% en moyenne au moment de la fermeture des places européennes) a permis au CAC de terminer au-dessus de ses plus bas du jour.
Le Département du commerce a annoncé à 14h30 (heure de Paris) que l'économie américaine avait progressé de seulement 1,6% au 3ème trimestre, alors que les économistes attendaient en moyenne une progression de 2%.
"Cette publication va mettre à l'épreuve le moral des investisseurs. S'ils sont optimistes, ce ralentissement sera considéré comme l'annonce de futures baisses de taux. S'ils se montrent pessimistes, ils y verront le présage de prochains résultats d'entreprises décevants", souligne Al Goldman, stratège chez AG Edwards.
En Europe, l'intégralité des secteurs ont fini dans le rouge, à l'exception des télécoms (+1,6%), des produits de base (+0,7%) et des services collectifs et de l'automobile (+0,25%).
Peugeot a signé la plus forte hausse du CAC (+2,7%) malgré l'annonce, hier soir après la clôture des marchés, d'un repli de son chiffre d'affaires au 3ème trimestre et d'une nouvelle révision à la baisse de sa prévision de marge opérationnelle.
"C'était le profit warning le plus anticipé de l'année", estimaient ce matin les analystes de Citigroup, qui affichent une recommandation "conserver" sur le titre.
Toujours sur le CAC, Carrefour - qui a annoncé des perspectives décevantes au titre du 4ème trimestre - a été sanctionné par une baisse de 3,6% et Sanofi-Aventis (-1,5%) semblait contaminé par la chute (-10% en 48H) de son concurrent britannique Astrazeneca.
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