La clôture de Wall Street

Publié le par ludoverblog

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 Nouveau record de clôture du pétrole à New York à 70,40 dollars

LES COURS DU PÉTROLE

NEW YORK (Reuters) - Le pétrole brut a inscrit un nouveau record lundi sur le marché à terme new-yorkais, terminant à plus de 70 dollars le baril pour la première fois depuis le lancement par le Nymex de contrats à terme sur le brut en 1983, en raison des craintes d'escalade du conflit entre l'Iran et l'Occident sur le programme nucléaire de Téhéran.

Le contrat pour livraison en mai, qui expire jeudi, a fini sur une hausse de 1,08 dollar soit 1,6%, à 70,40 dollars le baril sur le New York Mercantile Exchange, après être monté à 70,45.

Le précédent record de clôture d'un contrat à un mois, à 69,81 dollars, remontait au 30 août dernier.

Le plus haut historique en séance du brut léger américain est de 70,85 dollars le baril; il date lui aussi du 30 août dernier, après le passage de l'ouragan Katrina sur le sud des Etats-Unis et le golfe du Mexique.

A Londres, le contrat juin sur le Brent a fini sur un gain de 89 cents, soit 1,3%, à 71,46 dollars le baril, après un record à 71,62.

Et la hausse ne s'est pas limitée au marché du brut: le contrat mai du Nymex sur l'essence a fini à 2,1697 dollars le gallon (un gallon = 3,8 litres environ), en hausse de 2,9%, son plus haut en clôture depuis la fin septembre. Quant au fioul domestique, il a terminé à 2,0229 dollars le gallon, en hausse de 2% sur la séance et au plus haut depuis le 4 octobre.

L'anticipation d'une nouvelle baisse des stocks américains d'essence et de distillats (qui incluent le fioul) ont alimenté l'augmentation des cours des produits pétroliers raffinés à deux jours de la publication des derniers chiffres hebdomadaires de l'Energy Information Administration, ont expliqué des traders.

Les premières estimations de neuf analystes interrogés par Reuters prédisent en moyenne une diminution de 2,2 millions de barils des stocks d'essence pour la semaine au 14 avril.

Les stocks de distillats devraient quant à eux avoir reculé de 1,4 million de barils alors que ceux de brut sont attendus en hausse de 1,9 million de barils.

L'OPEP IMPUISSANTE

Mais "la principale préoccupation qui a entraîné la hausse aujourd'hui est l'Iran", a souligné Phil Flynn, analyste d'Alaron Trading à Chicago.

L'ancien président iranien Akbar Hachemi Rafsandjani a répété lundi que son pays continuerait ses activités d'enrichissement d'uranium malgré les injonctions de la communauté internationale.

La montée des tensions entre l'Occident et Téhéran a alimenté une hausse de 20% des cours du pétrole brut depuis la mi-février, occultant la hausse des stocks commerciaux aux Etats-Unis à leur plus haut niveau en huit ans.

Autre explication à la flambée des cours: les perturbations dans la production nigériane, conséquence des attaques menées par des activistes contre des installations pétrolières. La production du Nigeria est toujours diminuée de 500.000 barils par jour.

Plusieurs ministres de l'Opep ont déclaré que l'Organisation des pays exportateurs ne pouvait rien faire de plus pour rassurer le marché.

"En ce qui concerne la production, il n'y a rien que nous puissions faire. Nous produisons déjà au maximum", a dit le ministre du Pétrole du Qatar, Abdullah al Attiyah.

L'Indonésien Maizar Rahman, qui siège au conseil de l'Opep, a toutefois jugé que le cartel devrait augmenter sa production s'il le pouvait.

"Le prix du pétrole est trop élevé et cela va toucher les économies en développement, y compris l'Indonésie", a-t-il expliqué.

La Bourse de New York baisse à cause du pétrole: DJIA -0,57%, Nasdaq -0,64%

La Bourse de New York a fini en baisse lundi, l'indice Dow Jones cédant 0,57% tandis que le Nasdaq a reculé de 0,64%.

A la clôture des échanges, le Dow Jones Industrial Average (DJIA) a cédé 63,87 points à 11.073,78 points et l'indice composite du Nasdaq 14,95 points à 2.311,16 points.

L'indice élargi Standard and Poor's (SP 500) a perdu 0,29% (-3,79 points) à 1.285,33 points.

Après avoir progressé légèrement pendant la première heure des échanges, les indices ont ensuite basculé dans le rouge, tirés à la baisse par les cours du pétrole, qui ont battu de nouveaux records.

A New York, le "light sweet crude" a pris plus d'un dollar, pour finir à 70,40 dollars le baril, battant son record de clôture remontant au 30 août dernier.

"On se débat avec les prix élevés de l'énergie et la hausse des taux obligataires, qui crée de la concurrence pour les actions", a noté Paul Nolte, analyste chez Hinsdale Associates.

La flambée des matières premières amplifie en effet les pressions inflationnistes, susceptibles de pousser la Réserve fédérale américaine (Fed) à continuer à relever ses taux d'intérêt, ce qui pèse sur les indices boursiers.

Sur le marché obligataire, le rendement du bon du Trésor à 10 ans a reculé à 5,007% contre 5,036% jeudi soir, et celui à 30 ans à 5,078% contre 5,107%.

Les marchés étaient fermés vendredi aux Etats-Unis, avant le week-end de Pâques.

Le bon à 10 ans évolue à ses plus hauts depuis 2002. Bien rémunérés, les bons du Trésor peuvent être des placements plus intéressants que les actions pour les investisseurs.

Par ailleurs, les marchés attendaient la publication mardi des minutes de la dernière réunion de la Fed, qui pourraient donner des indications sur la future politique monétaire américaine.

Les opérateurs attendent également la suite de la publication des résultats trimestriels d'entreprises, dont le plus gros est attendu cette semaine et la semaine prochaine, a indiqué Marc Pado, analyste de Cantor Fitzgerald.

Publié dans Bourse

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