La clôture à Paris
vendredi 23 février 2007 18:03
A la clôture, le CAC 40, qui est allé jusqu'à perdre 0,3%, affichait des gains de 0,15% à 5716,4 points, une progression légèrement moins marquée que celles de Londres (+0,25%) et Francfort (+0,3%).
Sur la semaine, l'indice parisien affiche un gain symbolique de 0,05%.
Après une série de résultats d'entreprises et de publications macroéconomiques, le marché a été confronté à une actualité mince en cette dernière journée de la semaine.
Le retour des tensions sur le nucléaire iranien semble également avoir dissuadé les investisseurs de prendre des positions marquées avant le week-end.
Au moment de la clôture de Paris, le Dow Jones et le Nasdaq abandonnaient de concert 0,3%.
Microsoft pèse sur la tendance (-1%), alors qu'un tribunal fédéral américain a condamné le géant des logiciels à verser 1,53 milliard de dollars de dommages à Alcatel-Lucent pour avoir enfreint la propriété intellectuelle de ce dernier.
A Paris, Alcatel-Lucent (+2,6%) signait la deuxième plus forte hausse du CAC, juste derrière STMicroelectronics (+ 29%).
Arcelor Mittal a pris 0,9%, après avoir annoncé la signature d'accords avec le Sénégal en vue de sécuriser ses approvisionnements en minerais de fer.
Soutenu par la progression du pétrole, Total s'est adjugé 0,7%. Le baril de brut léger a franchi ce matin le seuil des 61 dollars sur le NYMEX, dopé par le regain des tensions sur le dossier du nucléaire iranien.
Au rang des baisses, Carrefour a cédé 1% dans le sillage d'une dégradation de l'opinion de Deutsche Bank sur la valeur, de "achat" à "conserver". Le bureau d'études constate que le titre Carrefour s'est envolé de 18% au cours des deux dernières semaines pour des questions de spéculation qui n'ont -selon lui - pas lieu d'être.
En hausse de 2% à l'ouverture, Lafarge a essuyé la pire performance du CAC (-1,5%).
Si Citigroup demeure à l'achat sur le cimentier français avec un objectif de cours de 121 euros, Fideuram Wargny a pour sa part un avis un peu plus mitigé sur les résultats 2006 du groupe cimentier, qu'il recommande simplement de conserver.
(Cercle Finance) - Hésitante pendant la totalité de la séance, la Bourse de Paris a fini par s'aligner sur la hausse des autres places européennes en fin de journée, en dépit de la faiblesse de Wall Street, ce qui lui permet d'afficher un score nul sur l'ensemble de la semaine.
A la clôture, le CAC 40, qui est allé jusqu'à perdre 0,3%, affichait des gains de 0,15% à 5716,4 points, une progression légèrement moins marquée que celles de Londres (+0,25%) et Francfort (+0,3%).
Sur la semaine, l'indice parisien affiche un gain symbolique de 0,05%.
Après une série de résultats d'entreprises et de publications macroéconomiques, le marché a été confronté à une actualité mince en cette dernière journée de la semaine.
Le retour des tensions sur le nucléaire iranien semble également avoir dissuadé les investisseurs de prendre des positions marquées avant le week-end.
Au moment de la clôture de Paris, le Dow Jones et le Nasdaq abandonnaient de concert 0,3%.
Microsoft pèse sur la tendance (-1%), alors qu'un tribunal fédéral américain a condamné le géant des logiciels à verser 1,53 milliard de dollars de dommages à Alcatel-Lucent pour avoir enfreint la propriété intellectuelle de ce dernier.
A Paris, Alcatel-Lucent (+2,6%) signait la deuxième plus forte hausse du CAC, juste derrière STMicroelectronics (+ 29%).
Arcelor Mittal a pris 0,9%, après avoir annoncé la signature d'accords avec le Sénégal en vue de sécuriser ses approvisionnements en minerais de fer.
Soutenu par la progression du pétrole, Total s'est adjugé 0,7%. Le baril de brut léger a franchi ce matin le seuil des 61 dollars sur le NYMEX, dopé par le regain des tensions sur le dossier du nucléaire iranien.
Au rang des baisses, Carrefour a cédé 1% dans le sillage d'une dégradation de l'opinion de Deutsche Bank sur la valeur, de "achat" à "conserver". Le bureau d'études constate que le titre Carrefour s'est envolé de 18% au cours des deux dernières semaines pour des questions de spéculation qui n'ont -selon lui - pas lieu d'être.
En hausse de 2% à l'ouverture, Lafarge a essuyé la pire performance du CAC (-1,5%).
Si Citigroup demeure à l'achat sur le cimentier français avec un objectif de cours de 121 euros, Fideuram Wargny a pour sa part un avis un peu plus mitigé sur les résultats 2006 du groupe cimentier, qu'il recommande simplement de conserver.