La clôture de Wall Street

Publié le par ludoverblog

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Wall Street clôture en baisse de 1,29%

LA CLÔTURE DE WALL STREET

Wall Street a accusé lundi sa plus forte baisse depuis plusieurs mois, les investisseurs de retour à leur poste après la coupure de Thanksgiving sanctionnant une prévision décevante de Wal-Mart et un rebond du brut à plus de 60 dollars le baril, deux paramètres de mauvais augure pour les dépenses de fin d'année.

Sur le Nasdaq, le compartiment technologique a surtout souffert quant à lui des craintes entourant le niveau de valorisation atteint par Google.

L'indice Dow Jones des trente principales valeurs a perdu 1,29%, soit 158,38 points, à 12.121,79, sa plus forte baisse en pourcentage depuis le début juillet.

L'indice élargi Standard & Poor's a abandonné de son côté 1,36% (18,99 points) à 1.381,96 et le composite du marché Nasdaq, à forte composante technologique, a trébuché de 2,21% (54,34 points) à 2.402,92.

Pour le Nasdaq il faut remonter au 24 septembre 2003 pour retrouver une aussi forte baisse en points sur une séance, et le S&P-500 n'avait pas autant reculé en pourcentage depuis début juin.

Le numéro un mondial de la grande distribution Wal-Mart a abandonné 2,69% à 46,61 dollars après avoir annoncé que ses ventes à surface comparable baisseraient de 0,1% en novembre .

Cette prévision, couplée au rebond du brut alors que l'Arabie saoudite a laissé entendre qu'une nouvelle baisse de production de l'Opep était possible, pourraient constituer de mauvais présages pour les dépenses de consommation aux États-Unis durant la saison stratégique des fêtes de fin d'année, dont Thanksgiving vient de donner le coup d'envoi.

La Fédération nationale des détaillants a d'ailleurs fait état d'une baisse sur un an d'une de ses mesures de la fréquentation des magasins pour le week-end prolongé de la fin novembre.

"Wal-Mart est un baromètre pour les distributeurs, et il laisse entendre depuis un certain temps une certaine faiblesse", commente Paul Nolte de Hindsdale Associates. "C'est peut-être seulement un problème Wal-Mart. Nous verrons bien les prochaines semaines."

BAISSE DU DOLLAR ET HAUSSE DE LA VOLATILITÉ

La fermeté du baril de pétrole a permis à la major Exxon Mobil de finir à contre-courant de la tendance, avec un gain de 0,12% à 72,47 dollars, mais frappé de plein fouet les compagnies aériennes.

Continental Airlines ou AMR, maison mère de la première compagnie des États-Unis, American Airlines, ont dégringolé respectivement de 7,29% à 42,07 dollars et de 5,57% à 32,20 à la perspective d'un alourdissement de la facture en kérosène.

Le moteur de recherche sur internet Google a lâché quant à lui 4,01% à 484,75 dollars, après avoir franchi la semaine dernière la barre des 500 dollars, le magazine financier Barron's ayant écrit que le titre était maintenant surévalué.

Le constructeur automobile Ford a abandonné de son côté 4,2% à 8,16 dollars, le marché n'ayant pas apprécié l'annonce d'un nouveau plan de refinancement de 18 milliards de dollars par des crédits afin de restructurer les activités du groupe en Amérique du Nord, conduisant les agences de notation à déclasser une fois encore la dette de Ford .

Une quatrième séance consécutive de baisse du dollar a également préoccupé les intervenants, le plus bas de vingt mois touché face à l'euro ayant soulevé des questions sur l'attractivité actuelle des actifs américains aux yeux des investisseurs étrangers.

"La faiblesse du billet vert nous a pris par surprise", ajoute Nolte.

Autre signe des craintes des investisseurs, l'indice de la volatilité du Chicago Board Options Exchange a fait un bond de 14,6% dans le sillage du repli du billet vert. Cet indice, également connu comme le baromètre de la peur à Wall Street, mesure les anticipations de volatilité à court terme telles que traduites par les prix des options du S&P-500.

Pas plus tard que la semaine dernière, l'indice VIX évoluait près d'un plus bas de 13 ans, le rally récent de Wall Street ayant alors totalement rassuré les investisseurs.

 
 
       


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